The Wrath Of Athena
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Once, we were real ▬ Feat Brooke Davis

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Anonymous
Invité

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Once, we were real ▬ Feat Brooke Davis Empty
MessageSujet: Once, we were real ▬ Feat Brooke Davis Once, we were real ▬ Feat Brooke Davis EmptyVen 6 Fév - 1:32

Once, we were real × ft. Brooke Davis
Son regard était fixe. Les heures passaient sans qu’il ne s’en rende réellement compte. Etait-il là depuis une heure ? Peut-être deux ? Il n’en savait rien et à vrai dire, c’était le cadet de ses soucis. Il se fichait pas mal de rester ainsi, stoïque sur ce qui devait être un bord de lit. Non. Il s’en fichait pas mal. Pas un bruit ne venait trouble le calme de la pièce. Plus calme que la mort presque. Un verre à la main, il attendait. Attendre quoi ? Le temps, les regrets, les pensées. Tout. Dans sa tête fourmillaient des centaines de questions, de phrases sans queue ni tête. De tourments. Il n’avait pas la force de bouger, de faire quoi que ce soit d’ailleurs. L’envie de réaliser une chose était passée depuis quelques temps. Des jours pour être précis. Il n’avait plus la force de se lever tous les matins pour se battre. Il était fatigué, fatigué de se défendre contre du vent. A quoi cela aurait-il servi d’ailleurs ? A rien, selon lui. Un fantôme restait toujours un fantôme quoi que l’on fasse. Ses pires démons n’étaient que des inquiétudes, des peurs qu’il ne pouvait combattre. En fait, le pire démon qu’il avait à affronter, c’était lui-même. Et que faire dans ce cas-ci hein ? Non, Julian préférait se laisser porter dans la tornade qu’était à présent sa vie. Cette dernière ne valait plus la peine. Il avait tout perdu. Par sa propre faute. D’ailleurs, la preuve se tenait sous ses yeux. Son regard noisette était focalisé sur une feuille, feuille qu’il n’aurait jamais voulu voir d’ailleurs. Mais elle était bien là. Ce fichu bout de papier venait de mettre en l’air des années de sa vie, mettant un point final sur sa relation, sur sa famille, mais surtout sur ce qu’il avait été à vrai dire. Portant à ses lèvres l’énième verre d’alcool qu’il buvait depuis être rentré des studios de cinéma, il fixa le seul mot sur le bout de papier qu’il tenait qui définissait apparemment sur ce qu’il était à présent. Divorcé. Il avait décidément tout gâché. Cela n’en finirait-il jamais ? Il avait laissé filer entre ses doigts une merveilleuse femme, deux fils adorables, alors qu’avait-il maintenant ? Juste un bout de papier. Il aurait tellement aimé pouvoir remonter la roue du temps et revenir à ce moment précis où il avait fait la plus grosse erreur de sa vie. Il voulait pouvoir tout changer et redevenir celui qu’il était. Mais tout ça était impossible et le mal-être qui grandissait chaque jour en lui en était la preuve concrète. Soupirant, une dernière fois, il laissa tomber de sa main la fameuse finalité de son mariage sur le sol avant de se lever, ne quittant pas d’ailleurs un de ses nouveaux meilleurs amis, c’est-à-dire son verre. Tourner en rond dans sa nouvelle demeure était presque devenu un jeu quotidien. Pourtant, il n’était pas ça. Pas du tout même. Mais c’était devenu une habitude malgré lui. Pourquoi ? Il ne le savait pas réellement. Peut-être était-ce comme pour extérioriser l’impasse qu’était devenue sa vie. Enfin, il put prendre conscience du temps. Effectivement, à rester ainsi, impassible, il n’avait plus du tout eu la notion du temps. C’est avec une certaine indifférence qu’il découvrit qu’il était à peu près vingt-deux heures et demie. Malgré l’heure, il n’avait pas du tout envie d’aller se coucher. Il était sûr qu’il se retournerait encore et encore dans ce lit de chambre d’hôtel, sentant qu’une présence à ses côtés lui manquait terriblement. De toute façon, c’était toutes les nuits la même rengaine. Il commençait à avoir l’habitude. Le sommeil ne viendrait que quand il serait à bout de force, physiquement ou mentalement d’ailleurs. Il ne lui restait plus qu’une chose à faire : Sortir. Après tout, rester ici ne l’aiderait pas à s’endormir et tourner en rond allait sans aucun doute le rendre dingue. Il valait mieux qu’il sorte. Posant son verre à présent vide sur le meuble, il attrapa alors simplement son manteau, le froid de l’hiver étant encore bien présent, et ses clefs de la chambre d’hôtel. Il ne prit même pas le temps de regarder ses messages, sachant pertinemment que ces derniers viendraient d’une certaine amie à qui il ne voulait pas parler, comme à tout le monde d’ailleurs. Sans un regard donc vers son portable, il quitta bien vite l’endroit, claquant presque la porte. A vrai dire, il n’aimait pas cet endroit. Ce n’était pas chez lui. C’était vide, froid et lugubre. Comme son cœur à vrai dire. Pourtant, il n’avait pas eu le choix. Avec toute cette histoire, il était devenu un danger pour sa propre famille, ou du moins en était-il convaincu. Il se devait de s’éloigner d’elle. Pour eux. Il ne pouvait donc aisément pas rester dans la maison familiale Davis. De toute façon, Brooke lui avait fait bien comprendre ce qu’elle pensait. Le divorce n’en était que la suite après tout. Certes, il avait senti en elle une certaine résistance après l’incident, mais il avait bien vu qu’elle avait tenté de surmonter tout ça. Pas lui. Il ne pouvait pas. Il n’y arrivait pas. Ainsi, il avait préféré s’éloigner pour commencer, ne voulant leur faire encore plus de mal qu’il ne leur avait déjà fait. Une chose en entraînant une autre, Brooke avait demandé le divorce et Julian s’en était allé dans cette stupide chambre d’hôtel. Le jeune homme quitta alors complètement sa nouvelle résidence pour marcher tranquillement dans les rues de Tree Hill. Il n’y avait évidemment pas un chat dehors, sans doute dû à cause du froid ou encore de l’heure. Les parents devaient sans doute être en train de border leurs enfants, tandis que les couples s’endormaient bras dessus bras dessous voguant vers le pays des rêves. Tout était calme à vrai dire. Pourtant, au contraire de sa chambre d’hôtel, Julian sentait une sorte de forme de vie qui émanait de ces rues. A vrai dire, il commençait à les connaître par cœur après toutes ces années passées ici. Il revoyait ici et là divers souvenirs que faisaient émerger certains lieux. Cela lui faisait presque mal de se rappeler tous ces moments, comme s’il ne les avait jamais vécu, ou du moins, comme s’il n’avait été qu’un simple spectateur de la scène. Oui, cela faisait mal. Il voulait ressentir encore et encore cette même joie dans un de ses souvenirs lointains. Mais non. Son cœur était incapable de rattraper ce sentiment perdu. Il détourna alors doucement là tête tout en continuant de marcher. Néanmoins, cette marche improvisée avait quelques peu insérer en Julian une presque sérénité. Sans doute était-ce aussi les effets qui s’estompaient de l’alcool, mais il se sentait vide et sans aucun état d’âme. Cela aurait pu paraître assez négatif, mais pour Julian en ce moment même, c’était reposant. Ne plus rien ressentir pendant l’espace d’un instant était comme un repos bien mérité. Tout ce sentiment de regret, de tourments et de dégout de soi-même le fatiguaient plus que tout. A cet instant précis, libéré pour quelques instants de ça, il se sentait libre. A vrai dire, c’était presque comme ces fils lorsqu’ils n’arrivaient pas à dormir, son ex-femme les emmenait toujours faire un tour pendant une ou deux heures et elle revenait avec deux bambins complètement endormi. Peut-être tenaient-ils ça de leur père. Peut-être ou peut-être pas. Sans s’en rendre réellement compte, ou était-ce simplement son inconscient, ses pas l’avaient amené devant le Karen’s Café. Ce dernier était encore éclairé, sans doute Hailey devait-elle faire les derniers comptes de la journée avant de fermer boutique. Ou alors, Brooke devait-elle s’occuper de répertorier les derniers articles dans l’inventaire. Brooke… A cette simple pensée, le cœur de Julian reprit ses droits et se serra dans sa poitrine. Non, il ne devait pas penser à ça. La jeune femme faisait à présent partie du passé. Ou du moins, tentait-il de s’en convaincre. Après tout, elle ne lui faisait plus confiance et leur divorce avait été le point final de leur mariage certes, mais aussi de leurs rencontres. Julian n’avait pas revu la jolie brune depuis le fameux jour où leur séparation avait été officiellement déclarée. Un coup fatal pour Julian à vrai dire. Il n’avait eu à compter de ce jour plus rien à se raccrocher, du moins le croyait-il. Soupirant, alors, ne voulant plus penser à ça, il se décida à passer vite cet endroit pour tenter de retrouver ce moment de vide émotionnel qu’il avait ressenti quelques minutes plus tôt. Mais c’était sans compter sur la personne qu’il bouscula, ne l’ayant pas vu, sans doute beaucoup trop occupé avec ses maudites pensées. Effectivement, cette dernière devait sans doute être sortie du Karen’s Café, puisque les lumières étaient à présent éteintes. Julian tourna alors doucement la tête et sentit son cœur s’emballer. C’était elle. Elle. Elle était seule, ayant sans aucun doute laissé les jumeaux à sa mère puisqu’elle avait jugé leur père incapable et trop dangereux, qui selon Julian lui-même, n’était pas réellement faux. « Brooke.. » fut les seuls mots qu’il put prononcer, sans qu’une multitude de pensées viennent l’assaillir.
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S. Eden Peterson

S. Eden Peterson
INSCRIPTION : 14/12/2014
LETTRES : 826
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MessageSujet: Re: Once, we were real ▬ Feat Brooke Davis Once, we were real ▬ Feat Brooke Davis EmptyDim 8 Fév - 20:23





BROOKE & JULIAN
Once, we were real

Il était tard, la journée avait été anormalement longue pour la jolie miss Davis aujourd'hui... Pourquoi ? Elle n'en savait trop rien, peut être parce que la nuit passée elle n'avait que très peu dormi ce qui peut provoquer beaucoup de fatigue, des jambes assez lourdes et de petits yeux... Elle avait retrouvé un ancien amant, pour être précis, Gabriel, son compagnon de New-York. Bon d'accord ce n'était pas vraiment son compagnon, disons plutôt que c'était son petit ami aux yeux des paparazzis et des magasines... Malgré tout ils agissaient en tant que couple également derrière les caméras et appareils photos. Elle avait été très contente de le retrouver mais le fait d'être troublée par sa présence et qu'elle se soit laissée embrasser par ce dernier montrait qu'elle avait réellement tourné la page avec son ex mari... du moins c'est ce qu'elle voulait bien croire. Pour ne pas se retrouver seule ce soir, elle avait demandé à Gabriel de venir dîner chez elle, mais malheureusement il fallait qu'elle fasse des heures au Karen's Café, Haley avait du partir en urgence car sa petite était malade et donc le café était tout sauf rangé. Sans attendre, Brooke commençait par faire le ménage, débarrassait les tables, les nettoyait, faisait la vaisselle, enfin tout ce qu'une bonne patronne peut faire une fois que le panneau "Close" affiché sur la porte d'entrée l'indiquait...
Une fois le ménage terminé, le Karen's Café brillait comme un sous neuf... Il était désormais temps pour la jolie brune de se rendre dans l'arrière boutique pour s'attaquer à la paperasse... Peureuse dans cet endroit, elle décida de tout emmener dans la pièce principale afin d'avoir un oeil sur la porte d'entrée bien qu'elle l'avait déjà verrouiller. Elle s'installa alors à une table au fond du café pour y faire ses comptes mais avant de commencer elle appela Gabriel pour le prévenir qu'elle serait en retard à cause de cet événement inattendu... Une fois les comptes terminés, Brooke ferma toutes les lumières et prit le chemin vers la porte de derrière. Une fois dehors, alors qu'elle écrivait un texto à son ancien amant pour le prévenir qu'elle partait du café, quelqu'un la bouscula ce qui fit voler son téléphone sur le sol. Brooke furieuse, alla le ramassa sans attendre criant.... Vous auriez pu faire attention ! puis elle ramassa son téléphone, puis elle remit la batterie et sa coque qui avaient volé en éclat. Elle entendit soudain la voix de Julian, c'était lui sans aucun doute, elle l'aurait reconnu parmi des millions... Surprise, elle s'arrêta et le regarda... Julian, qu'est ce que tu fais ici ? lui demanda-t-elle sans attendre. Après tout c'est vrai il se trouvait tout de même ici, à une heure tardive, devant le lieu où elle travaillait... Si ça ce n'était pas de l'harcèlement... Bref, elle garda tout de même son calme...
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